N'importe Nawak (séminaire temps modernes, 28 mars 2007)
Charline
Once upon the Char in the west
Aime-toi, la vie t’aimera
David et Jonathan
Les filles à pédé sont vos amies, il faut les aimer aussi
Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras
Nectar et ambroisie, je répète, nectar et ambroisie
L’étoile a pleuré rose au cœur de tes oreilles
Mon bel amour, mon cher amour, ma déchirure
C’est un trou de verdure où chante une rivière
Les sanglots longs des violons de l’automne
C’est toi la langueur monotone
A suivre au prochain épisode
Parce que c’était lui, parce que c’était moi
Dis, tu m’aimes ?
Ensemble, c’est tout
On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans
Un, maman a tort, deux, c’est beau l’amour
La fontaine de Mercure par Jean de Bologne
Vous choisirez par vous-même
Oh, s’il vous plaît
Rien, elle doit faire pipi
Elle ne fonctionnait pas bien parce qu’il y avait si peu d’eau
Heureux l’étudiant qui tel la rivière peut suivre son cours dans son lit
Faut te faire soigner. Ça te détend ?
Ils sont sourds comme des pots, et ils parlent
schoorstoempijpen cheminées
L’air est doux
Heirweigh a tout du rat de bibliothèque
Décomposez la phrase
De jonge, c’est le valet
A été construit pour la bagatelle
Remplissez vos poumons d’air
Vous n’avez rien entendu du tout
Peulen, des haricots
Les gens frustrés n’ont pas d’histoire
Le roi jardine, le roi sème
Tourbillonnez
Monsieur là au fond
Manches courtes
Un maraîcher vraiment amateur
Cercles concentriques
Catherine Jacques a de beaux cheveux
Elle est précieuse
La nouvelle construction était un étage plus haute
Les oiseaux piaillent, et non piaffent, ça c’est les chevaux
Wonderwoman
Saint-Germain-en-Laye
Les méandres de
Si x(n) = Ejwn, y(n) = H (ejw) ejwn
Un mauvais peintre
J’ai envie de lui gribouiller la tête
Nous avons tiré le carosse