Je n'ai rien à dire, mais j'écris un article pour le dire
Oué, je vis encore. Mon silence de ces dernières semaines s'explique principalement par le fait que j'ai écrit un mémoire. (Bon, j'étais déjà censée être plongée dans mon mémoire jusqu'à la moëlle pendant les semaines encore avant, celles justement où j'ai été hyperactive ici, mais vous pouvez considérer le blog comme une activité de procrastination. En somme, plus je suis présente ici, plus je suis censée être débordée ailleurs.) Et, depuis que je l'ai rendu et présenté, j'ai fait diverses choses de la plus haute importance comme glander, boire, déménager, glander, boire, nettoyer, glander, boire, défendre ce mémoire, glander, boire, lire Millénium, glander, boire, écrire un article tiré de mon mémoire pour le prochain numéro de Chronique féministe, glander, boire, postuler au CEGES. Bref, j'ai été bien occupée.
Si vous avez été attentif, vous aurez relevé le verbe déménager. Hé oui. Fini Bruxelles, bonjour Arlon. En fait, actuellement, je suis dans l'expectative. A la croisée des chemins. Je ne sais pas trop ce que je veux faire plus tard. Mon jury de mémoire, qui a fait preuve de générosité et de bonne humeur, m'ayant gratifié d'une grande distinction, à peu près tous les chemins s'ouvrent à moi. Résultat, je suis paralysée. Thèse ? Gender studies à Cambridge ? Chercher du boulot ? Bon, on ira papoter sérieusement avec ma directrice, puis on verra. Donc, en attendant, c'est Arlon, dans l'expectative.
Mais, dans l'immédiat, je pars en vacances demain. Chez une morue parmi mes amies (insérer ici lien vers son blog qui n'existe pas), en région bordelaise. Pour glander, boire (du vin), et, heu, on verra.
A part ça, j'ai bien peur de ne pas avoir beaucoup de réflexions spirituelles à faire. Peut-être, un jour, je prendrai le courage d'exploiter des parties de mon mémoire pour faire des articles plus courts. On verra. Au pire, je ferai ma pub lors de la sortie du Chronique féministe.
See you later alligator.
Si vous avez été attentif, vous aurez relevé le verbe déménager. Hé oui. Fini Bruxelles, bonjour Arlon. En fait, actuellement, je suis dans l'expectative. A la croisée des chemins. Je ne sais pas trop ce que je veux faire plus tard. Mon jury de mémoire, qui a fait preuve de générosité et de bonne humeur, m'ayant gratifié d'une grande distinction, à peu près tous les chemins s'ouvrent à moi. Résultat, je suis paralysée. Thèse ? Gender studies à Cambridge ? Chercher du boulot ? Bon, on ira papoter sérieusement avec ma directrice, puis on verra. Donc, en attendant, c'est Arlon, dans l'expectative.
Mais, dans l'immédiat, je pars en vacances demain. Chez une morue parmi mes amies (insérer ici lien vers son blog qui n'existe pas), en région bordelaise. Pour glander, boire (du vin), et, heu, on verra.
A part ça, j'ai bien peur de ne pas avoir beaucoup de réflexions spirituelles à faire. Peut-être, un jour, je prendrai le courage d'exploiter des parties de mon mémoire pour faire des articles plus courts. On verra. Au pire, je ferai ma pub lors de la sortie du Chronique féministe.
See you later alligator.